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    Lune de sang
    Lune qui a égaré son papier d'argent
    Dans un bain
    Elle a dilué
    Sa pureté de cristal
    Celle qui apporte sur terre
    Sa lumière
    La lune rouge

    Pourquoi rougir, lune
    Si facilement
    Quand ta surface
    Miroir géant
    Accroché dans le ciel sans nuage
    Reflète
    L'activité des hommes ?

    Lune investie de timidité

    Une qui ne souffre que d'une pâleur
    Habituelle et temporelle
    Tache de lumière
    Sans pareille
    Un soir parmi un millier d'autres
    Ta robe de soirée
    Immaculée
    Se teinte de l'encre hémoglobine
    De ceux qui un jour osèrent
    Poser le pied sur ta pierre
    Au teint de nacre et de mystère.


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  • Elle était si jolie.. Que je n’osais l’aimer.. ?

    Foutaises !!! J’aime..

    Je suis là, cœur gelé, mal …….

    Aujourd’hui c’est l’hiver

    Mon cœur est froid comme l’acier..

    Je ne comprends plus rien

    J’aime le beau, la douceur

    Je ne vois que le doute

    Je hais la noirceur

    Je suis fatigué de me disculper

    Je suis fatigué de crier dans le vide

    Je suis fatigué qu’on me prête des aventures inventées…

    Je suis malade de mes pensées

    Je suis malade de mes envies

    J’ai peur de moi encore une fois 

    Tout est si noir autour de moi 

    Noir sans vie

    Vide de passion

    Vidé de l’amour que je lui porte

    J’ai trop mal……….

     

    CrissCopyright © 2021 - Tous droits réservés

     


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  • Les Mots de Criss - Simplement pour me souvenir

    Ce sont simplement des mots pour le plaisir,
    des mots pour me souvenir...
    Simplement des mots.
     
    La légère brise soulevait doucement la ramure des arbres,
    l'oblique du rayon automnal du soleil,
    faisait éclater les ors et les bruns de la forêt.
     

    Les Mots de Criss


    Pourquoi ce regard si jalousement gardé ?
    Devais-je fuir la réalité ?
    Tu m'épiais sans te douter
    Que dans tes rets, j'allais tomber.
    Surpris, vilaine, tu me fais trembler..
     
    La tiédeur de la journée faisait oublier la froideur des soirées..
     
    Tes yeux de biche, éclat..
    Ta timidité, chut..
    Tes lèvres sucrées, délices..
     
    Seul ce sentiment d'être pour une fois le Roi !
     Seul pour crier l'absence, sans rien attendre en retour..
     Le crissement sous mes pieds des feuilles mortes me troublait,
     Ainsi la vie pouvait s'en aller..
     
    Un frôlement, un geste..
    Un sourire éclatant !
    Question, pourquoi moi ?
    Rires, larmes..
    Réponse, moi ?
     Mais pourquoi ?
     
    M'enfoncer dans des rêves d'adolescent,
    marcher sans réfléchir.
    M'asseoir au pied d'un vieil arbre.
     Sentir cette humidité teintée de senteurs
    sensuelles de mousses me pénétrer.
    Fermer les yeux, rêver, rêver, décalé je suis,
    fêlés sûrement, qu'importe !
    Je goûte ce moment.
    Ne pas se réveiller, fuir la réalité ?

    FOUTAISES !
     
    Coquine,
    Merveilleusement douce,
    Taquine,
    Je ne crie pas encore pouce !
    Divine, mutine..
     
    Mais, il me faut rentrer,
    mes vieux os craquent, la vie continue..
     
    Soupirs ..
     Tes yeux de biche m'inspire..
     
    Mais qui suis-je ? Qui suis-je encore ? Qui suis-je ?
     
    CrissCopyright © 2021 - Tous droits réservés
      31 août 2009

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  • Bonnie Boat de vitesse comme un oiseau sur l'aile

    En avant les marins pleurent

    Portez le garçon qui est né pour être roi

    Sur la mer jusqu'à Skye

    Le vent hurle Fort les vagues rugissent

    Les coups de tonnerre déchirent l'air

    Déconcertent nos ennemis

    Tenez-vous près du rivage

    Suivez ils n'oseront pas .

    Speed ​​bonnie boat comme un oiseau sur l'aile

    En avant les marins pleurent

    Portez le garçon qui est né pour être roi

    Sur la mer jusqu'à Skye
    Beaucoup de gars se sont battus ce jour-là

    Eh bien, la claymore a manié

    Quand la nuit est venue Silently allongé
    Mort sur le champ de Culloden
    Speed ​​bonnie bateau comme un oiseau sur l'aile

    En avant les marins pleurent
    Portez le garçon qui est né pour être roi 


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  • La mer est immense - Graeme Allwright

    La mer est immense, je ne peux la traverser
    Je n'ai pas d'ailes pour la survoler
    Préparez moi un bateau pour deux
    Nous ramerons mon amour et moi
    Navire je vois qui fend les flots
    Chargé ras bord et je ne sais
    Si cet amour que j'ai en moi
    Dans les abîmes m'entraînera
    Contre un jeune chêne je me suis appuyé
    Pensant qu'il pouvait résister
    Mais hélas il a plié
    Comme mon amour il s'est brisé
    Dans un buisson j'ai posé ma main
    Croyant tendre fleur y trouver
    Mes doigts aux épines j'ai blessé
    La tendre fleur fait tomber
    L'amour est joie, l'amour est beauté
    Ainsi les fleurs en leur matin
    Mais l'amour passe et disparaît
    Comme de la fleur, rosée d'été.

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